Fête marquant le cœur battant de l’été grec. Grande journée de Saint-Élie le Thesbite, prophète de l’Ancien Testament commémoré le 20 juillet. Prophète des Cieux, surtout entre la mer et la terre des montagnes. Tout en hauteur comme les chapelles qui lui sont dédiées. Pour nous, c’est le retour à notre bourgade désormais habituelle du Péloponnèse. Nous avons ainsi salué nos amis, les remerciant pour leur hospitalité, ceux de l’Argolide dite perdue en en réalité retrouvée.
Nous avons autant salué les animaux. Argolide, juillet 2020 |
Nous avons autant salué leurs animaux, ces âmes qui nous entouraient avec tant de bienveillance ces derniers jours. Retour donc à la... “civilisation”, le port du masque obligatoire dans les transports, bateaux et navettes compris, cette mascarade devenue désormais entre-temps obligatoire pour les clients des supermarchés du pays vendu. La défiguration comme marque de la saison 2020 alors planétaire.
Notre été n’est manifestement plus si commode que par le passé, même si les apparences font de tout leur possible. Les Grecs alors remplissent plages et stations balnéaires, de préférence proches de leurs lieux de résidences, au cas où. On se dit que mieux vaut émerger près des plages dès à présent, plutôt qu’attendre la fin de cet été lequel avance visiblement masqué. “Le confinement sera-t-il de retour ?” Voilà pour la question du moment, sauf qu’elle n’est pas la seule ni la plus importante.
Une certaine croisière s’amuse certes, cependant, elle reste largement minoritaire pour un tourisme qui tourne au mieux au 20% des chiffres habituels. En plus, pratiqué la peur au ventre... et le ventre vide. La Berezina était prévisible, les cas importés du COVID-19 se comptent désormais par dizaines par jour, détectés il faut dire de manière aléatoire au gré des atterrissages... des cagoulés visiteurs.
Les Grecs en sont inquiets, les gouvernants mâchent leurs mots ruminant nos maux, pourtant tout le monde aura remarqué que le nombre de décès n’augmente guère, en tout cas pour le moment. “Foutaises donc, dès que le tourisme estival passera, ils vont nous enfermer de nouveau, histoire de nous achever définitivement et pour donner la mer Égée aux Turcs. Sinon ce n’est pas logique leur truc, d’une part, demander aux Grecs à ne pas circuler si possible et en même temps, ouvrir les frontières aux porteurs dits saint du COVID-19 depuis le monde entier”, voilà pour ce que l’on entend du côté du Péloponnèse alors suffisamment profond.
Une certaine croisière s’amuse. Péloponnèse, juillet 2020 |
En pays chrétien, île de Póros. Juillet 2020 |
Nous avons autant salué les animaux. Argolide, juillet 2020 |
Au café du port on évoque ainsi volontiers la calamité du masque obligatoire, ceux qui attendent le ferry pour le Pirée redoutent alors leur retour à Athènes. “On va étouffer dans les superettes, quelle calamité. Et dire que ceux du gouvernement autant que leurs médecins vedettes, nous expliquaient avec tant de... sérieux avant le Printemps que porter tout le temps un masque lorsqu’on n’est pas malade est nocif, très nocif” D’autres font rappeler “qu’un cousin issu de la parentèle des Mitsotákis, a obtenu toutes les autorisations nécessaires en une seule nuit pour monter son usine de fabrication du muselage moderne, s’agissant naturellement des fameux masques. Il va falloir encore et surtout les vendre”. La rapacité du clan Mitsotákis est d’ailleurs historiquement...lue et approuvée.
On évoque aussi Chypre, justement parce qu’on n’oublie pas. Ce jour du Prophète Élie en 1974, la Turquie historique a envahi l’île de Chypre pour occuper depuis la partie nord de l’île d’Aphrodite. “Les gars, cette trahison est plus ancienne qu’il n’y parait, réveillez-vous. On raconte depuis tant de bobards aux jeunes pour qu’ils perdent définitivement le fil de l’histoire. J’avais alors 15 ans en 1957. Je me souviens de tout. Toute la Grèce, toute sa jeunesse se battait pour Chypre dans les rues. On pensait que le colonisateur Britannique se rangerait alors du côté de la logique, à savoir, rendre l’île aux habitants à plus de 80% des Grecs luttant pour le rattachement de leur île à la Grèce à l’image des autres îles. Puis, nous avons été brisés par les forces de l’ordre avant même la trahison. 1974 n’est que la suite des événements ainsi trafiqués par les mêmes guignols qu’aujourd’hui. Pauvres jeunes. Politiciens, salopards, traîtres.”
Oui, on n’oublie pas. En ce jour maudit pour l’hellénisme, les Turcs ont débarqué sur la plage de Pénte Míli, non loin de la ville portuaire de Kerýneia dans la partie nord de Chypre. Notons qu’à l’époque, nos traîtres étaient divisés en traîtres de droite et traitres de gauche, ou si l’on préfère, en démocrates de l’OTAN et en putschistes toujours de l’OTAN, travaillant en réalité ensemble. Il y a très exactement 46 ans, la trahison totale de Chypre, dirigée par la CIA et du fond du... puits par les fantômes gnostiques comme Atlantiques des sociétés secrètes britanniques, entrait dans la phase de sa mise en œuvre finale.
À cinq heures du matin, sept navires amphibies turcs, sous la couverture de quatre destroyers ont débarqué sur la plage Pénte Míli un premier détachement des forces de l’opération Attila. Il s’agissait de deux petites unités de chars et de deux bataillons renforcés, lesquels ne rencontrèrent aucune résistance. C’était le début de l’invasion turque que d’ailleurs Makários avait... sollicité à l’ONU “convaincu” de la sorte par la diplomatie britannique quelques heures plus tôt. Le tout, faisant suite à un Putsch organisé par les gnostiques du genre entre Londres, Ankara et Washington, sous la couverture des colonels d’Athènes et plus spécialement de leur marionnette Ioannídis. La chute préparée des Colonels sous la pression des événements, savamment déguisée en retour de la démocratie lorsque la marionnette Karamanlís avait été dépêchée à Athènes, à bord de l’avion du Président Valéry Giscard d’Estaing quelques jours plus tard. Karamanlís a fait même pire que les Colonels ; sous sa responsabilité les Turcs ont fini par contrôler 37% du territoire de Chypre lors de l’opération Attila-II en août 1974, au lieu du 4% initial sous Ioannídis. Programmé et préparé pour trahir, Konstantínos Karamanlís, celui que la propagande ambiante présente toujours comme un “père de la nation”, avait exclu toute réaction militaire grecque déclarant même ouvertement: “Chypre, c’est loin.”
Le débarquement d’Attila. Chypre, 20 juillet 1974 |
Grecs sauvant leurs Icônes des églises devant l’avancée de la barbarie turque. Chypre, juillet 1974 |
Devant le drame des disparus, en réalité assassinés par les Turcs. Chypre, 1974 |
La barbarie turque en œuvre, autant que toute “l’intelligence” britannique comme associée. Les hordes sauvages d’Attila, comme jadis leurs ancêtres, ont saccagé les cimetières et brûlé les églises, ils ont volé, violé, torturé celles et ceux de la population grecque expulsée de la partie nord de l’île. Sitôt, la partie occupée a été colonisée par les Turcs introduits depuis l’arrière-pays continental, au besoin islamistes. Les corps des civils et militaires grecs assassinés ou morts en déportation en Turquie, parfois ayant servi de cobayes lors des essais d’armes chimiques à la turque, ont longtemps figuré sur les listes des “disparus” ; crimes turcs contre l’humanité alors permanents d’ailleurs longtemps réfutés, à l’instar du génocide des Arméniens et des Grecs d’Asie mineure entre 1915 et 1922. Ce n’est que depuis seulement près de dix ans, que les Turcs ont fini par indiquer des lieux, en tout cas à Chypre, où ces malheureux ont été ensevelis dans de nombreuses fosses communes. Grace à l’identification ADN, les familles ont enfin pu enterrer dignement les dépouilles de leurs proches, ceci près d’un demi-siècle plus tard.
La Turquie est ce pays prédateur, voire pirate et cela dure depuis plus de dix siècles ; et quant à son identité islamo-totalitaire profonde, actualisée sous Erdogan, elle vise désormais l’Europe et pas seulement les Balkans ou les pays limitrophes. Sa colonisation islamique pour ne pas dire islamiste, au besoin en annexant des territoires comme déjà à Chypre, devient ainsi un projet ouvertement affiché, soutenu il faut dire par une bonne partie des pseudo-élites occidentales, néo-gnostiques, pédophiles, nihilistes et néanmoins minoritaires, hypocrites et agissant de manière fatale contre les peuples et les nations de la vieille Europe.
Comme l’écrit très justement mon ami Olivier Delorme dans Hérodote, analysant entre autres la récente prise d’otage par Erdogan de la Sainte-Sophie à Constantinople, “la basilique de la Sainte Sagesse ayant été pendant près de mille ans la plus grande église du monde, cette décision heurte le monde orthodoxe mais aussi ravive la crainte de voir la Turquie reprendre à son compte l’héritage ottoman et d’aggraver le chaos moyen-oriental”.
La basilique de la Sainte Sagesse à Constantinople |
“En réalité, la Turquie est devenue l’élément déstabilisateur majeur en Méditerranée orientale, dans les Balkans comme au sein de l’OTAN. Arrivé au pouvoir en affichant le principe: zéro problème avec les voisins, le gouvernement AKP a brouillé la Turquie avec tous ! Elle refuse toujours de reconnaître le génocide arménien, ne cesse de menacer l’Arménie et manipule désormais des manifestations dirigées contre les citoyens d’origine arménienne dans un Liban en crise.”
“Elle finance la réislamisation sur un mode radical des minorités musulmanes des Balkans. Elle multiplie les violations des espaces maritime et aérien grecs comme les déclarations affirmant la caducité du traité de Lausanne de 1923 qui fixe ses frontières avec la Grèce. Elle revendique, au mépris du droit international, des dizaines d’îlots en Égée où elle empêche la Grèce d’exploiter les ressources en hydrocarbures de sa zone économique exclusive. Elle occupe et colonise près de 40 % du territoire d’un autre État membre de l’Union européenne, la République de Chypre, et prétend s’approprier le gisement gazier découvert entre Chypre et Israël”, Olivier Delorme, Hérodote, juillet 2020.
Pour ce bref rappel historique, rappelons enfin seulement que lorsque les Turcs d’Attila ont débarqué à Chypre le 20 juillet 1974, le nombre des militaires en somme restreint, étant donné déjà la morphologie du terrain, reste toujours un secret d’État en Turquie, ce qui couvre au besoin et largement les traîtres du côté grec, ceux qui savaient et qui n’ont pas voulu réagir. Depuis 46 ans, c’est alors ici qui réside toute l’essence de la trahison des militaires de la Junte, autant que celle des politiciens en poste, en Grèce comme à Chypre, dont Karamanlis, Avérof, Makários ; ces gens n’ont jamais été jugés il faut le rappeler également. Parce que “Chypre, c’ est loin”, sauf pour Kímon, l’homme d'État et stratège athénien. Rappelé vers 451 av. J.-C. par Périclès, Kímon avait dirigé une grande campagne contre les Perses mobilisant plus de 200 trières afin de reprendre Chypre, dont il libère et où il meurt d’ailleurs vers 450-449 av. J.-C. en faisant le siège de Kítion, l’actuelle Larnaka. Chypre à l’époque était visiblement plus près d’Athènes qu’en ce moment.
Citerne d'une forteresse de jadis. Argolide, juillet 2020 |
Citerne d'une forteresse de jadis. Argolide, juillet 2020 |
Traces de la ville fortifié détruite par les Arabes. Argolide, juillet 2020 |
Le lecteur attentif et souhaitons-le conscient du moment historique qui est le nôtre, comprendra que l’actualité et l’histoire de Chypre comme de Grèce le concerne nécessairement, car ce qui s’y joue n’est que l’expérience de ce qui demeure programmé à court et moyen terme, dans la mise à mort des États, des nations et autant des peuples, au besoin autrement que par la guerre classique.
En 1974 en tout cas, d’autres... arrangements conclus mais plus anciens sont connus grâce à certains documents de la CIA, désormais déclassifiés. La dictature des Colonels en Grèce avait été mise en place par les États-Unis et plus amplement par les élitocrates Anglo-saxons dans la volonté de l’instrumentaliser et ainsi de faire disparaître la République de Chypre ainsi offerte à la Turquie.
Tel avait été également le sens entier de la tentative de coup d'État contre le président de Chypre Makários, personnage pourtant faisant partie intégrante du mauvais puzzle au 15 juillet 1974, quand une partie de la garde nationale dirigée par des officiers Grecs acquis aux colonels a donné à la Turquie le prétexte d’intervenir. Ce Putsch... dans le Putsch a causé par la même occasion l’effondrement programmé de la dictature des Colonels, elle avait enfin accompli enfin toute... sa mission. Une opération, en réalité estampillée Henry Kissinger agent britannique historique entre autres d’après les sources à présent avérées. Les Colonels grecs ont tout simplement incarné le rôle des idiots très utiles, autant que les politiciens actuels à bord du Titanic de notre pseudo-démocratie des masques... et des tubas.
Manifestation des habitants contre la colonisation et l’islamisation. Athènes, juillet 2020 |
Yórgos Zervomanólis, tombé à Chypre le 16 août 1974 |
Place Victoria à Athènes, les habitants ont manifesté la semaine dernière pour dénoncer la colonisation et l’islamisation du pays et d’abord de leur quartier. Les gauchistes et les agents de Sóros ont dépêché sur place ceux de leur cinquième colonne afin de terroriser les habitants et ainsi annuler leur manifestation. La guerre, cette guerre sera longue, comme tant d’autres par le passé.
Nous, nous n’oublions pas, comme nous avons encore le sens de l’histoire. Dans cette même logique, nous n’oublions pas Yórgos Zervomanólis, jeune soldat originaire de Lesbos, tombé à Chypre le 16 août 1974. Dans sa dernière lettre datant de la première phase de l’invasion turque, il pensait avoir échappé au destin.
“Mes parents bien-aimés et adorables, mon frère bien-aimé. La guerre est terminée et les choses se sont calmées, donc je ne veux pas du tout que vous vous sentiez désolés pour moi. Occupez-vous de votre quotidien et même amusez-vous. Je sais à quel point vous avez eu peur suite aux faits qui se sont déroulés ici, mais que faire, tel est le destin ainsi consigné nous concernant. Ce qui est agréable, c’est que je suis vivant et cela suffit. Le reste passera et nous l’oublierons, même s’il m'est difficile d’oublier ces jours dramatiques vécus sous la ferraille brûlante qui tombait sur nous, difficile d’oublier mes camarades tués. Je m’assois et je pense à leurs mères, à l’amertume qu’elles ressentent lorsqu’elles apprennent le meurtre ayant ainsi emporté leurs enfants. Que fait-il mon père, sort-il en mer pêcher les sardines? Saluez tout le quartier.”
Yórgos Zervomanólis était un soldat des maigres forces grecques - ELDYK sur place, lorsque l’invasion de Chypre a commencé. Il était sorti vivant d’Attila I et à la veille d’Attila II, il a envoyé cette lettre touchante à sa famille. Cependant, malgré le ton rassurant du jeune soldat dans sa lettre, il est finalement tombé, mort dans les batailles du second tour sous Attila II et sous ses bombes de type napalm, officiellement porté disparu durant 43 ans. Vendredi 26 mai 2017, ses restes ont été transférés à Athènes, d’abord à l’état-major, tandis que lundi 29 mai 2017, par une cérémonie spéciale, ils ont été transférés d’Athènes à Lesbos pour être inhumés dans le cimetière de son village natal. Ce soldat de 21 ans originaire de Lesbos, a donc été tué à la périphérie de Nicosie le 16 août 1974. Il a été enterré par les envahisseurs turcs dans une fosse commune, retrouvée à 1200 mètres au nord du campement, à côté d’un ruisseau de même que les dépouilles d’onze autres soldats grecs. Ses restes ont été d’ailleurs identifiés grâce à la méthode de l’ADN.
Yórgos Zervomanólis n’aura pas connu l’invasion colonisatrice par ces populations musulmanes que cette même Turquie en ce moment sous Erdogan, lance sur son île. Elle n’est pas si loin enfin, cette journée de Saint-Élie le Thesbite, prophète de l'Ancien Testament commémoré le 20 juillet, surtout en 1974.
De notre côté, nous avons visité en cette Argolide perdue, les restes d’une forteresse jadis habitée, comme ses citernes, citadelle anéantie par les envahisseurs Arabes du septième siècle. Au bout de notre escalade et en descendant, nous avons découvert des barils datant manifestement des années 1940. Nos chaussures, mal adaptées il faut dire à l’investigation historique, elles ont rendu l’âme, nous les remplacerons dès que possible ; l’histoire est d’un chemin finalement escarpé, c’est bien connu.
Baril d'antan. Argolide, juillet 2020 |
Nos chaussures, mal adaptées. Argolide, juillet 2020 |
Au café du port, on évoque ainsi volontiers la calamité du masque obligatoire, comme on évoque autant Chypre, justement parce qu’on n’oublie pas. Au point où nous en sommes, l’histoire est désormais apprise et le plus simple reste souvent le plus efficace.
Nous connaissons la méthode à suivre et autant la solution. Ce n’est rien d’autre désormais que la guerre totale, d’abord contre les “nôtres”, s’agissant des élitocrates, les mettant hors d’état de nuire sûrement et définitivement avec une prise du pouvoir musclée, radicale et appuyée sur la méthode et la pratique du référendum populaire. Parlant de la Grèce déjà, il va de soi que tous les partis politiques actuels doivent être dissous, autant que ce Parlement d’opérette. La pseudo-démocratie des masques et des mascarades a déjà dépassé les limites de son mensonge originel, elle en est morte et elle nous tue, nous ne la pleurerons donc pas. Inutile de dire que l’Union Européenne doit être dissoute par la même occasion, de même que toute organisation, think tank ou ONG et structure du genre, mettant en danger notre existence économique, culturelle et nationale, ou alors, prônant le remplacement de la population par l’invasion organisée par les immigrationnistes de gauche comme de droite.
Le pays semble paisible. Vue de l'île de Póros, juillet 2020 |
Retour à notre bourgade désormais habituelle du Péloponnèse. Nous avons salué nos amis, les remerciant pour leur hospitalité, ceux de l’Argolide dite perdue, en réalité retrouvée. Les Grecs alors remplissent timidement plages et stations balnéaires, de préférence proches de leurs lieux de résidences au cas où. Retour à l’été grec ou sinon à son fantôme, sous l’imagerie populaire d’un pays qui se dit encore paisible.
Il n’y a pas photo. Mimi de greekcrisis du haut de ses dix-sept ans, en sait certainement quelque chose !
Il n’y a pas photo. Mimi de greekcrisis, Péloponnèse, juillet 2020 |
* Photo de couverture: Nous avons salué nos amis. Argolide, juillet 2020