Greek Crisis
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Wednesday, 30 September 2020

Geopolitical value
Valeur géopolitique



Le pays paisible grec n’est plus, sauf peut-être dans ses montagnes supposées perdues, ou sinon dans ses mythes. Sous la conduite des maîtres fous, l’histoire s’accélère jour après jour, du Caucase à Chypre en passant par les capitales de l’Europe capitulée. Et la vie des humbles est alors réduite.

Thursday, 24 September 2020

High treason
Haute trahison



Pays historiquement amarré au colpo grosso. Petits métiers, paupérisation, grands escrocs et en premier choix... la trahison. C’est de l’histoire qui se répète alors jusqu’à sa fin. Le pantin Mitsotákis entame désormais ouvertement des discussions avec Erdogan. Athènes admet le préalable de “la démilitarisation” des îles grecques de l’Égée. Autrement dit, les laisser sans défense devant le prédateur d’en face ; le tout, sous ordre de Berlin. Les Colonels en leur piètre temps avaient rappelé la Division de l’armée grecque de Chypre. Quelques mois après seulement, les hordes d’Attila envahissaient l’île si chère à Séféris. Décidément, 1974 n’est guère loin sauf qu’il ne faut pas qu’il se répète.

Sunday, 13 September 2020

Mória and its bite
Mória et sa morsure



Trop, c’est trop. Il faut enfin arrêter avec le prétendu angélisme et toute sa propagande sans cesse réchauffée à la sauce immigrationniste. Les services secrets de la Turquie, les ONG germano-compatibles, au besoin islamistes, ainsi que leurs complices Antifa et assimilés appointés par Sóros, renforcent depuis un moment déjà le trait de leurs méfaits. Le calendrier s’accélère. Ce petit monde, truffé de complotistes mafieux et d’agents à tous les étages, vient d’en rajouter au chaos à Lesbos, à commencer par la planification et l’exécution tactique de “l’opération incendie” du camp de Mória.

Wednesday, 9 September 2020

On fire... and soon on blood ?
À feu... et bientôt à sang ?



Au pays de l’été, l’hiver s’annonce très dur. C’est alors un engourdissement survivaliste décisif, voire fatal, qui se profile à l’horizon COVIDien des faillites et des fermetures définitives entre cafés et boutiques. En plus de la guerre initiée par la Turquie, pour ne pas oublier la géopolitique du pire en ces eaux troubles de notre siècle déjà entamé. Les “migrants” brûlent en ce moment Lesbos et ce n’est qu’un début. Entre le chaud et le froid, la tenaille se referme autour du pays. Sauf que son âme n’a pas déposé ses armes, et que l’époque pourrait s’avérer propice aux renversements ainsi qu’à la Catharsis.

Friday, 4 September 2020

The time of the bastards
Le temps des salopards



Le calendrier se précise et on y va tout droit. Le chantage est désormais ouvert et c’est le Norvégien de l’OTAN, l’ami des Turcs et des compagnies pétrolières qui s’avance alors... à la manière des mafieux. “Athènes a démenti jeudi soir des discussions avec Ankara sur une désescalade en Méditerranée orientale, après un tweet du secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg, affirmant le contraire. Les informations qui ont été révélées sur des discussions techniques présumées à l’Otan ne correspondent pas à la réalité, a affirmé jeudi soir le ministère des Affaires étrangères grec dans un communiqué”. Voilà pour la version édulcorée des faits, celle de la presse trop habituelle.

Tuesday, 1 September 2020

Mycenae on fire
Mycènes en feu



Fin août. Il y a le feu, encore et toujours. Mycènes en feu, l’incendie d’après le Ministère de la Culture, “a tout juste traversé le célèbre site” du royaume du héros homérique Agamemnon, chef des Achéens lors de la lointaine guerre de Troie. Et alors, bien loin du Péloponnèse des Atrides, à l’autre bout du pays Égéen, nos garnisons auraient récemment reçu des renforts, ce que les Turcs considèrent comme une “provocation”. Bonne blague.