Greek Crisis
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Friday, 7 February 2020

Point of no return
Point de non-retour



La guerre en cours se précise et se prépare pour atteindre des seuils plus nuisibles que jamais, sur le plan local comme national. Certes, depuis les contrées paisibles et largement désertées de la Thessalie comme de la Macédoine grecque, on ne voit pas venir cette guerre pour l’instant, mais ce n’est qu’une affaire de peu de temps.

Migrants et policiers à Lesbos. Presse grecque le 3 février 2020

Car ailleurs, aux îles grecques de la mer Égée et notamment à Lesbos, les migrants musulmans instrumentalisés par les mafieux des ONG sur place, ONG soutenues par l’ONU, l’UE, Berlin et par la nébuleuse Sóros, sèment désormais la pagaille attaquant et menaçant ouvertement la population grecque. Entre autres violences et pillages, ces dernières semaines ont eu lieu des incendies d’habitations et d’entrepôts et même le pillage d’hôpitaux, comme sur l’île de Leros, et ce n’est qu’un début.

Le “gouvernement” de Kyriákos Mitsotákis dont les principaux collaborateurs et membres de sa famille sont issus de la Sórosphère, n’agit pas car il obéit aux ordres reçus depuis l’étranger, ceci bien entendu au détriment des intérêts du pays et des Grecs, ou sinon, il fait semblant d’agir. Ces derniers jours on nous annonce la mise en place d’un filet immergé empêchant le passage des embarcations utilisées par la mafia des passeurs en stricte collaboration étroite avec les ONG. Un filet... d’une longueur de 2,7km sur plusieurs centaines de kilomètres de littoral grec dans la zone. Toute la Grèce en rigole. Ce qui n’a pourtant pas empêché l’eurodéputé SYRIZA Kóstas Arvanítis d’interpeller la Commission via le dit “Parlement européen”. “Nous avons lu dans la presse internationale aujourd'hui que le gouvernement grec commande des barrages en mer. Qui paie pour ces barrages? Ils sont d'abord utilisés comme on sait contre des personnes et, bien entendu, contre des citoyens. Sauf qu’ils sont conçus pour des opérations de guerre.” . Arvanítis, l’ancien journaliste gauchiste qui n’admet pas l’évidence de cette guerre imposée au peuple grec, mérite alors largement son salaire de collabo, comme tous ces autres, chiens de garde du totalitarisme européiste et mondialiste, de gauche comme de droite.

Mitsotákis vient de faire adopter jeudi dernier au “Parlement”, une loi qui prétend encadrer les ONG et leurs actions en Grèce, rien qu’en mettant en place un registre obligatoire avec recensement de leurs membres. Car il faut souligner que ceux des ONG agissent en toute illégalité et opacité, couverts par l’ONU et consorts, et le comportement mafieux de leurs membres s’assimile autant à celui d’une administration néocoloniale. Cette loi tient peut-être de la poudre aux yeux à destination des Grecs, sauf que la presse de la Puissance colonisatrice en cette UE, à savoir l’Allemagne, proteste déjà contre “cette... inhumanité des Grecs”, presse allemande du 5 février 2020.

Migrants s'accaparant les automates des banques à Lesbos. Presse grecque le 3 février 2020

Migrants et pagaille à Lesbos. Presse grecque le 3 février 2020

Migrants et policiers à Lesbos. Presse grecque le 3 février 2020

Car l’Allemagne et la Turquie coorganisent la destruction de la Grèce par la guerre, d’abord via l’euro et sa Troïka, et ensuite en implantent sur son sol et de fait par la violence, des populations musulmanes d’ailleurs manipulables. Au pays désamorcée après dix ans de la dite “crise”, la recette qui prend est alors fort ancienne et d’ailleurs, on entend ici ou là en Grèce en ce moment ce rappel historique, à savoir “que la Turquie comme l’Allemagne ne sont pas à leur premier génocide... près”, ou sinon, “au remplacement de la population chez les autres par la violence et par la guerre”, par exemple à travers les émissions de Kalarrýtis et de Trángas sur 90 ;1 FM.

On peut citer le cas de Chypre par exemple, île historiquement et culturellement appartenant au monde hellénique depuis la plus haute Antiquité et dont la population avait été de 82% grecque comportant une minorité turque à hauteur de 18% jusqu’en 1974, moment de l’occupation de la partie Nord de l’île par la Turquie faisant suite à l’invasion de l’armée turque et à l’arrivée des colons depuis la Turquie, le plus souvent choisis pour être pro-islamistes et alors fanatisés. Cette rupture a profondément modifié la démographie de l’île, ce que le colonisateur britannique, de 1878 à 1960, a autant tenté de promouvoir au détriment du caractère grec de Chypre. Comme c’est le même modèle barbare utilisé par la Turquie ottomane historique depuis toujours, y compris contre le peuple Kurde, et encore actuellement lorsque la Turquie envahi par exemple le territoire de la Syrie et déplace des populations par la violence.

Ceci, avec l’aimable collaboration de certaines Puissances occidentales et pas uniquement, car cette politique de la guerre et du remplacement de la population des îles grecques de la mer Égée est ouvertement prônée par les médias et par les politiques de la Turquie actuelle. Nous savons aussi qu’un certain nombre de journalistes, d’universitaires, d’élus locaux et nationaux, comme de chaînes de télévision en Grèce, recevraient des subsides depuis la Turquie, ou sont en relation... philosophique très proche des élites de la Turquie actuelle autant qu’avec les cercles des crapules recyclées à la Sóros. Le Think-tank ELIAMEP par exemple, très compatible Sóros et très écouté par Mitsotákis, dont les membres se réunissent parfois ouvertement à l’Ambassade de la Turquie à Athènes... afin de promouvoir ensuite la politique grecque vis-à-vis de la Turquie, émissions du journaliste Trángas, 90.1 FM, semaine du 3 février.

La crise climatique, que faire ? Affiche de propagande systémique. Tríkala, Thessalie, février 2020

L'entrepôt de l'hôpital pillé par les migrants. Ile de Leros, fin 2019, presse grecque

Lesbos terre grecque et les migrants. Presse grecque le 3 février 2020

Notons que celui qui fut conseiller du Premier ministre turc Mustafa Bülent Ecevit au moment de l’invasion de Chypre par la Turquie en 1974, l’économiste... de gauche Kemal Derviş, est toujours un collaborateur actif du Think-tank... hellénonyme ELIAMEP et ceci depuis 30 ans tout comme il fut l’ami actif de Michel Rocard et de Dominique Strauss-Kahn, à travers leur... foutoir “À gauche en Europe.”

Il faut enfin “appeler un chat un chat”, car nous sommes en guerre, et voilà que les ONG mafieuses mobilisent les migrants afin de semer la pagaille sur nos îles au moment de la promulgation de cette nouvelle loi. De même, les Islamo-anarchistes d’Antifa et autres gauchisants à la Sóros, infiltrées comme on le sait par les services de renseignement de la Turquie islamo-totalitaire, organisent partout en Grèce des manifestations pour le 21 mars, entre autres motifs “contre l’islamophobie”, histoire de soutenir ces ONG ainsi que de promouvoir le remplacement à terme de la population grecque par la colonisation et par l’invasion. On le voit alors venir, la guerre, en ce siècle terminal à défaut d’être germinal, qui plus est une guerre totale, est alors hybride, sournoise et métastasique à tous les étages.

Pendant ce temps, en Thessalie occidentale, le systémisme organise des débats en ville de Tríkala d’après le thème imposé: “La crise climatique, que faire ?” et autres idioties, histoire d’aveugler les peuples une fois pour toute et au besoin définitivement, notamment les plus jeunes, endoctrinés comme ils le sont déjà par les médias et surtout par l’école, tenue par le clan très officiel des mondialistes et des apatrides patentés. Après le débat... les gentils participants pourront peut-être déguster de la pâtisserie au centre-ville, ou même s’apercevoir qu’existent encore ces statues des héros de la nation et de la Révolution de 1821 ayant libéré la Grèce de l’emprise ottomane, laquelle n’a pas laissé que des souvenirs disons... au sirop et au miel.

Et à Lesbos de l’année 2020, les migrants illégaux se réclamant de la “liberté”... de faire ce que les passeurs et les ONG considèrent comme relevant “de droit” et surtout de la seule force, ont été immobilisés par les policiers sous une autre pancarte, celle des habitants au message bien clair: “Lesbos terre grecque - Citoyens Libres”, tout un symbole.

Vendredi 7 février, le drapeau grec qui flotte devant le Théâtre Municipal de Mytilène, capitale de Lesbos, a été déchiré, et l’entrée du bâtiment a été éclaboussée de peinture noire. Les auteurs de l’acte n’ont pas été interpelés par la police, mais les responsables municipaux imputent ces méfaits aux anarchisants. “Nous ne reculerons pas, nous résistons, comme nous défendons notre drapeau et notre pays que nous comptons bien transmettre à nos enfants”, souligne l’adjoint au maire Panagiótis Tsakíris par son communiqué publié le 7 février 2020.

Il y en a marre. Grèce ne pleure pas pour moi. Presse de Lesbos, février 2020

Yórgos Adalís, informaticien et chroniqueur originaire de Lesbos, livre d’ailleurs son analyse, ainsi que son propre vécu, sous le titre évocateur, “Lesbos est tombée, grâce à Aléxis, Hollywood et le Pape !” :

“Hier, la plus grande île du nord de la mer Égée est passée bien près d’une grande catastrophe. Elle a été mise en danger par l’incendie que les migrants illégaux ont déclenché à quelques mètres seulement de la centrale, il faut dire obsolète, qui produit l’électricité. D’après une vidéo publiée en ligne, il devient clair que des groupes organisés ont allumé cinq foyers, à seulement 500 mètres de la seule centrale électrique de l'île et à seulement 600 mètres des énormes réservoirs de carburant. En cas d’incendie des réservoirs, les 39000 habitants de Mytilène, les 4000 habitants du village de Mória et bien sûr les 20000 migrants qui vivent dans le campement de Mória se trouvent d’ailleurs en danger immédiat.”

“Et à l’occasion, les 100.000 habitants de l'île seront privés d'électricité et la seule solution sera de fournir de l'électricité depuis... la Turquie. Ce qui est surprenant, cependant, c'est que le Procureur n'a même pas engagé de poursuites formelles pour les auteurs des incidents du 3 février 2020. À cet endroit, permettez-moi de clarifier ceci, que je considère nécessaire. Je suis né et j'ai vécu jusqu'à mes 18 ans en cette région. Ma maison natale est à seulement 700 mètres de la centrale sur une colline adjacente. Je connais les protagonistes de la scène politique locale, et surtout, le moindre recoin de ma région que j'adore. Ma famille y vit toujours.”

Héros de la nation et de la Révolution de 1821. Tríkala, février 2020

Pâtisseries. Ville de Tríkala, février 2020

“Aux débuts de la précédente décennie j’étais retourné pendant quelques années à Mytilène, où j'ai été l’assistant scientifique du maire de Mytilène à l'époque et qui est vice-gouverneur régional actuel, Aris Hadzikomnénou. J'étais en charge des fonctions de conseiller auprès du bureau des finances, des technologies de l'information et de la presse de la municipalité et des personnes morales. Plus tard, j'ai travaillé en tant que directeur de la seule chaîne de télévision régionale des îles de la mer Égée du Nord.”

“Je traite de la question de l'immigration illégale depuis 2000, lorsque j'ai publié dans Aegean Times la première enquête sur les passages que les esclavagistes actuels utilisent d'Asie à Lesbos. Il s'agissait d'une enquête en trois volets, publiée dix jours seulement avant les événements du 11 septembre 2001. L'île a été depuis choisie par les trafiquants Turcs comme point central pour entasser les migrants, perturbant ainsi la vie sociale et modifiant progressivement la composition de la population de nos îles.”

“La politique expansionniste d'Erdogan a même trouvé un petit nombre de Mytiléniens, disposés à l'aider et à opérer involontairement jusqu'à aujourd'hui à la manière du bras long d'Ankara à Lesbos. Ces concitoyens ciblent alors tout compatriote qui réagit à leurs plans de la prétendue politique d'amitié gréco-turque” ... “Au début des années 2000, lorsque j'ai commencé à travailler pour la municipalité, il n'y avait que six migrants illégaux à Lesbos, mais ils sont soudainement devenus soixante. À ce moment-là, j'avais mentionné qu'il y en aurait bientôt 600. C'était immédiatement après la guerre en Afghanistan. Considérez qu'à l'époque, les autorités insulaires n'avaient pas trouvé de place pour installer ces 600 migrants.”

“J'avais également souligné que certains d'entre eux seraient des talibans et des djihadistes du moment, compte tenu des régions d'où ils venaient. En effet, il avait alors été révélé que sur l'île, était arrivé en tant que réfugié demandant l'asile politique, un caïd du seigneur de guerre pro-turc Dostum, celui qui massacrait des gens en Afghanistan. Peu de Grecs avaient alors compris que celui qui est un bourreau auréolé, ne quitte pas son pays pour demander l'asile ailleurs ! Il se passait alors autre chose.”

Le pont central. Tríkala, février 2020

“On craignait également que ce chef ne soit arrivé sur Mytilène pour organiser les premiers colons de migrants. Malheureusement, il a obtenu l'asile politique, comme des centaines d'autres, simplement parce que notre État n'était pas préparé à une telle invasion hybride. Et la canaille politique de l'époque ne permettait pas d’entendre les voix qui s’élevaient pour exiger du sérieux et de la responsabilité.”

“Dans les années qui ont suivi, les marchands d'esclaves turcs ont versé de l'argent politique noir sur les îles et ont acheté des consciences. Ainsi, Ayvalık, la ville turque d’en face, d’une ville provinciale bon marché, est devenue la cité à la croissance la plus rapide de Turquie. En revanche, Mytilène s'est effondré économiquement au cours des deux années 2007-2008. Autrement dit, avant la crise économique globale, et par conséquent, même la Banque coopérative locale a vacillé et a finalement été fermée. Des foutaises dans le genre, voilà que les insulaires grecs conquerraient financièrement les côtes turques, c’est plutôt l'inverse qui s'est produit. Les Turcs ont commencé à acheter des propriétés dans nos îles. Maisons, parcelles, voire, infrastructures touristiques comme les marinas.”

“Dans plusieurs de mes émissions sur la chaîne régionale de Mytilène, capitale de Lesbos, j'avais dit que bientôt les 600 migrants illégaux deviendraient 6000. Malheureusement, en 2015, le gouvernement SYRIZA a ouvert les frontières sous prétexte de guerre en Syrie. Donc, les migrants illégaux sont effectivement passés de 600 à 6000! Cependant, au final, même à l’époque, seuls 5% étaient des réfugiés syriens. Mais surtout, c’est depuis 2015 qu’on entend parler du besoin urgent de désengorger nos îles. Mais cela ne s'est pas produit. Les migrants transférés en Grèce continentale ont été sitôt remplacés par de nouveaux arrivants.”

La Thessalie en hiver. Février 2020

“Aujourd'hui, nous comprenons plus de 20000 immigrants qui vivent sur l'île et, en 2016, j'avais exprimé la crainte que des 6000 on arrivera à 60000 migrants. Le cours des événements semble évoluer vers de tels chiffres. Il est donc évident que nous avons affaire à une colonisation des îles qui a commencé au début de la décennie précédente. Il est également évident que cette colonisation est directement liée aux hydrocarbures découverts en mer Méditerranée, à la volonté de la prise du contrôle de la mer Égée par la Turquie. Autrement dit, les îles comme les hydrocarbures sur lesquels Erdogan essaie de mettre la main.”

“Enfin, parmi ces milliers de migrants illégaux, il existe des éléments malveillants, djihadistes, criminels, etc. Et la responsabilité incombe aux autorités judiciaires et policières de l'île pour en somme ne rien contrôler. Ces autorités permettent toujours à une bande d’individus de démanteler nos îles comme d’empiéter sur notre souveraineté nationale, sous couvert d’un prétendu humanitarisme.”

“Il est alors inacceptable que des centaines de Mytiléniens qui se rebiffent contre eux, se trouvent trainés devant les tribunaux, et qu’en même temps notre île est quadrillée par ces gens si suspects des ONG sans la moindre légitimité et exceptés de tout contrôle des autorités grecques. En effet, on sait que le récent soulèvement des migrants a été organisé par les ONG en représailles... au magnifique rassemblement populaire de Mytilène d’il y a quelques jours pour en finir avec l’invasion, de même, que face au projet de loi prévoyant le contrôle des ONG.”

La Thessalie en hiver. Février 2020

“Je finis alors en posant quelques questions: qu'est-il advenu de ce prix Nobel de la paix prétendument destiné d’après les médias aux habitants de notre île pour avoir tant secouru des migrants? Les Mytiléniens l'ont-ils finalement obtenu? Où est maintenant Susan Sarandon laquelle avait rendu visite à notre île pour soutenir la cause des migrants, de même qu’Angelina Jolie ou Cersei Lannister? Et bien sûr, ce serait un péché que de ne pas mentionner les saints Pères ! Où étaient-ils alors hier, l'Archevêque d'Athènes, le Patriarche Bartholomée et le Pape miséricordieux de Rome, ce dernier ayant béni à Mytilène le drapeau de tous ceux qui ont détruit la Syrie, suivi de la moitié d'Hollywood?”

“Quelqu'un peut-il répondre, où ce Prix Nobel est-il allé, de même que toutes ces vedettes internationales en ce 3 février 2020, lorsqu’on est passé de si près pour arriver à des explosions fatales aux installations de la centrale électrique? Oui, elles ont été de leur parlote humanitaire et elles sont sitôt reparties, retournées à leur vie bien luxueuse. Reviendront-elles sur l'île ou attendront-elles peut-être les premières victimes?”, Yórgos Adalís, le 4 février 2020.

Images encore paisibles depuis les contrées largement désertées de la Thessalie comme de la Macédoine grecque, sauf que même en Thessalie, sur le pont central de Tríkala on traite parfois ce sujet, les rumeurs courent quant à l’installation en Thessalie occidentale de quelques milliers de migrants, il y en a déjà 600 à Tríkala, installés en appartements loués par les soins des ONG à la Sóros, UE et ONU et dont le financement... à la fin de l’année incombera à la municipalité, le sujet a déjà été évoqué en Conseil municipal à Tríkala.

En Macédoine grecque. Février 2020

On arrive alors à un point de non-retour. Lesbos et les îles, tout comme certains quartiers des grandes villes sont les micrographies du futur alors proche si rien ne change. Tsípras comme Mitsotákis sont directement tenus par Erdogan, par Merkel, par l’Ambassadeur U.S. Geoffrey R. Pyatt et cette idée est même ouvertement formulée jeudi 6 février par le journaliste Trángas sur la radio 90.1 FM. Comme on sait aussi que le mémorandum Tsípras-Troïka signé en 2015, c’est-à-dire Tsípras-Berlin, interdit expressément aux forces armées grecques toute initiative en matière de défense sans l’aval de la Troïka, autrement-dit de Berlin. Le salopard politique de la gauche mondialiste a même livré le noyau dur de la souveraineté du peuple et de la nation aux ennemis du pays et le salopard politique Mitsotákis accompli la suite du programme... de cette si haute trahison, en piétinant la Constitution jusqu’au bout. En cas de renversement de la situation, comme le prétend mon cousin au village Thessalien, “tous ces traîtres ont intérêt à quitter le pays”.

Point donc de non-retour. Les mafieux des ONG et les prétendus “solidaires” étrangers comme locaux qui encadrent les campements des migrants, alimentent généralement l'espoir et poussent les migrants à des accès de fièvre protestataire et qui finissent dans le chaos, la violence et la destruction. Après tout, l'activisme dans l'immigration s'est transformé en carrière professionnelle qui génère des revenus plus que généreux. De nombreux migrants ont également cru aux allégations des passeurs Turcs, leur assurant une vie confortable, le passage en Europe occidentale ainsi que ses allocations. L’atterrissage est alors brutal. Leur très grand nombre et les conditions généralement misérables alimentent la rage et la violence. Les affrontements ethniques prennent des dimensions sans précédent. Les vols et les agressions sexuelles, même sur des mineurs, sont alors monnaie courante.

Très souvent, des gangs armés de couteaux se forment. Il est révélateur que dès que l'obscurité tombe, les employés des ONG et toute sorte de volontaires quittent généralement les campements. Ils craignent pour leur propre sécurité personnelle. Cependant, peu de cas criminels voient le jour... on n’en fera pas de la publicité. C'est une pratique courante des ONG que de ne pas publier d'informations qui créent une image négative des migrants, qui sont ainsi leurs clients, ou plutôt leurs exploités.

Leur argument est que, si un comportement agressif est rendu public, tout comme la myriade d'actes illégaux et violents, “les Grecs auront peur et la xénophobie et le racisme seront alimentés”. Dans ce climat de “tanière” bien particulier, les responsables des centres s’adaptent également pour éviter les problèmes, et la Police n’y pénètre presque jamais.

Sauf que désormais l’insécurité gagne les villes et les bourgades, et que le plan... d’ensemble ne peut plus être dissimulé par les politiciens et autres rouages du système. Les limites ont été dépassées et à Lesbos, des milices locales autoproclamées... patrouillent alors dotées d’armes blanches, voire de bâtons “pour protéger leurs villages” comme à Mória, certaines sources évoquent même que la chasse à l’homme pour... dénicher ceux des ONG dans les bistrots de Lesbos a commencé, presse grecque du 5 février. Drôle de guerre... et on craint alors le pire. Cela-dit, le lendemain, parmi ces individus ayant agi de la sorte à Mória, sept personnes ont été identifiées et mises en état d’arrestation par la police, presse locale, le 7 février.

La guerre en cours se précise et se prépare, pauvre pays aux animaux adespotes... comme aux imposants despotes. Dans l’histoire, tout devient parfois cruellement si simple ; se rebiffer ou alors et de toute manière mourir.

Animaux adespotes. Tríkala en Thessalie, février 2020


* Photo de couverture: Pays paisible. Macédoine grecque, février 2020