Greek Crisis
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Saturday 12 December 2020

The padlock
Le cadenas



Les peuples ont toujours été plus nobles que le ramassis des “élus”. Surtout en ce moment, quand jour après jour, la synarchie des “grand initiés” de Davos, vomit tout son venin et tout son fiel sur les “masses”. Projetant un terrifiant modèle opportuniste... à leur image et convenance, il va de soi, que ceci est certainement contre toute logique humaine, contre toute bonne foi, sans aucune éthique quelconque, en somme, contre toute l’existence et la vie.

Des églises de quartier rouvrent leurs portes. Athènes, décembre 2020

Les conspirés mondialistes traitent même de conspirationnistes tous ceux qui argumentent, preuves à l’appui, que l’affaire de la pénible maladie COVIDienne, “vaccination” comprise, fait alors partie intégrante d’un ordre totalitaire. Les humbles quant à eux, résistent déjà... en chantant, pendant que certaines églises de quartier rouvrent enfin leurs portes, ignorant les oukases venus des politiciens marionnettes. Il y a même fronde au sein de l’Église, certains membres du clergé ont d’ores et déjà prévenu. “Nous à Noël, nous ouvrirons nos églises”. On... y arrivera.

La maladie tue certes, cependant, il ne faut pas négliger les ravages économiques ni l’asphyxie psychologique que le pouvoir despotique impose à la société au moyen des confinements. Les peuples réalisent combien cet univers concentrationnaire à l’échelle de ce monde déjà occidental n’est qu’une arme de destruction massive, dans la lignée de ce qu’est vraiment l’Union européiste germanique et son euro, visant directement l’existence des peuples, et alors même leur santé.

Des scientifiques non inféodés aux corrupteurs de l’industrie pharmaceutique, à l’instar du professeur John Ioannídis ne cessent de répéter que les confinements sont nuisibles et inefficaces ; d’ailleurs, ils appliquent une logique de classe, protégeant en priorité les couches aisées de la population, condamnant à la contamination plus que probable, les classes populaires et les travailleurs qui se déplacent encore par milliers.

Ces humbles donc qui résistent déjà... en chantant. Par temps de guerre, d’esclavage ou de dictature, le peuple et ses troubadours ont toujours su se hisser à la hauteur des enjeux historiques qui se présentent à eux ; pour d’abord s’exprimer par le chant et par la dérision. Tel, le compositeur et interprète Leonídas Baláfas, originaire de Kardítsa en Thessalie lequel n’est pas resté les bras croisés devant la situation actuelle. Il vient de diffuser sa chanson “Le cadenas”, composée en ce triste mois de décembre, il s’agit autant d’un réquisitoire contre les tyrans, d’ailleurs moqueur, que d’un hymne à la vie, à la chaleur humaine et à l’amour. Alors paroles ! Les câlins, puis les baisers ont été interrompus et la joie a disparu des visages, voilà que la peur a pénétré l'homme, et depuis, son cœur s’est figé.

Et moi qui veux te voir, ne te laisse pas te perdre, oublie les informations et ne les crois pas, tourne ton regard vers moi pour que je retrouve ma santé, le doute n’a pas sa place dans le nid de l’amour.

Ce bistrot est autant fermé, c’est l’endroit où nous nous sommes rencontrés pour la première fois, et voilà que tout un pays verrouille désormais chacun de nos instants.

Et moi qui t'aime tant, ne sois pas apeurée, ne couvre pas constamment tes deux lèvres, viens me les apporter, laisse-moi les embrasser une à une, le doute n’a pas sa place dans le nid de l’amour.

Achats de saison. Athènes, décembre 2020

Achats de saison. Athènes, décembre 2020

Le... cadenas, autrement-dit l’univers concentrationnaire imposé de fait à l’échelle du pays comme en même temps l’omniprésent mensonge de la propagande, la peur comme méthode de gouvernement, le doute, et enfin l’amour. C'est dire combien les choses peuvent être irrationnelles en ce moment, étant donné que le pouvoir verrouille désormais chacun de nos instants, sauf que ce n’est pas la première fois dans l’histoire humaine. D’où sans doute l’acclimatation d’abord épidermique des... consommateurs, lesquels se sont empressés d’acquérir ces biens susceptibles de meubler le temps de leur prison. Ils ont massivement acheté des téléviseurs encore plus plats que jamais, comme autant de ces tapis de course électriques, surtout... pour faire du surplace. La guerre c’est souvent aussi le temps des ersatz.

Les Grecs ont tout de même attendu leur délivrance soi-disant probable... vers Noël ; peine perdue, car les pantins gouvernementaux ont prolongé le confinement jusqu’au 7 janvier, et ils n’autorisent guère l’ouverture des boutiques, hormis pour livrer devant leurs portes, les articles commandés par Internet ou par téléphone. Oui, devant leurs portes sur le trottoir et surtout pas à l’intérieur des magasins. Sinon, l’amende infligée aux commerçants peut leur coûter bien cher, en plus de la fermeture obligée de leurs échoppes. Donc... cadenas.

De qui se moque-t-on, ils veulent nous achever”, retorquent alors les commerçants en soulignant que seulement 10% des commerces est techniquement équipé pour un tel fonctionnement. Les commerçants savent qu’un tel conditionnement du marché est loin d’être évident, “Jumbo”, une grande enseigne grecque polyvalente, a d’ores et déjà fait connaître sa... défection. “Nous sommes désolés, mais nous ne pouvons pas fonctionner de cette manière sachant que les magasins physiques restent fermés par décret gouvernemental jusqu’à nouvel ordre et que déjà, nous ne pouvons plus faire face aux très nombreuses commandes à livrer”. Méta capitalisme cognitif... alors rendu obligatoire.

Nos chats joueurs. Athènes, décembre 2020

Cette humiliation qui consiste à livrer sa propre marchandise sur le trottoir, on dirait pratiquement sous le manteau, quitte à devoir déplacer sa machine POS portative sans fil pour finaliser la transaction, n’a pas été infligée par hasard. Il y a fort à parier que la synarchie des “grand initiés”, ritualise même le déroulement de ses propres crimes. Avant leur disparition présumée définitive, les commerçants doivent se sentir coupables, traqués, conduits à vendre et à livrer presque à la sauvette, à la manière presque des trafiquants. Le tout, à travers cette procédure, dans l'interdiction totale de recevoir des paiements en espèces.

C’est seulement ensuite que le prétendu commerce électronique, qui plus est, épuré car “débarrassé de la petite zizanie”, triomphera, bien entendu à la gloire des monopoles et évidemment, des alchimistes des GAFAM. “Ceux qui ne pourront pas s’adapter à la nouvelle donne... alors ils disparaîtront”, voilà ce que déclarent déjà les ministrions de l’actuelle gouvernance sous la marionnette de Mitsotákis. Vermine... politique. Nous sommes donc en guerre ; seulement, pour en arriver là, le temps consumé dans sa préparation fut bien long, sauf que l’avenir sera désormais fort bref, à défaut de réaction massive et ciblée de notre part. Les commerçants déjà tournent en dérision ces nouvelles mesures, car en somme, elles sont calculées pour être impraticables. Le temps donne parfois la fausse impression d’ être à l’arrêt, quand par exemple nos chats toujours très joueurs, règnent seuls en maîtres sur le royaume abandonné des aires de jeux fermées aux enfants, et pourtant. Au pays du confinement parmi les plus strictes actuellement en cours en Europe occidentale, voire au monde, le totalitarisme et ses mensonges, avancent plutôt à grand pas.

Y compris dans les détails. D’après une publication récente du chanteur Grigóris Petrákos, celui même que le système a bien naturellement classé sous l’étiquette de “complotisme”, une nouvelle circulaire ministérielle, adressée à la direction des établissements publics de santé, impose... l’officialisation de la liste complète des médecins qui ne souhaitent pas se faire vacciner par le “vaccin” de Pfizer.

Ces “récalcitrants” doivent alors “se faire d’abord connaître par un document écrit et signé, et ensuite, les listes complètes seront transmises à l’assistante sociale” de l’établissement ou du district administratif. Il y a à peine une semaine, l’ignoble Mitsotákis avait prévenu “que pour ceux qui refusent la vaccination, nous disposons par contre de tout un arsenal administratif”.

Circulaire adressée à la direction des établissements publics de santé. Grèce, décembre 2020

Et pendant que l’agence Reuters tente d’expliquer bien après coup, l’existence tracée sur les sites Internet du commerce mondial, de nombreuses commandes de tests estampillés COVID-19... dès 2017 et 2018, voilà qu’en en France, le Pr Fourtillan, apparu dans le documentaire “Hold-Up”, est interné en hôpital psychiatrique... visiblement contre son gré. Une première ?

Les peuples, historiquement bien plus nobles que la vermine des “élus”, rêvent déjà de leur liberté à retrouver... celle de leurs étés grecs étés passés à jouer sur la plage, ou à sillonner la mer Égée à bord des ferrys. Sauf que la situation se complique et que désormais... il va falloir se battre pour enfin briser le “Cadenas”, celui de Leonídas Baláfas et autant le nôtre.

Leonídas Baláfas, compositeur et interprète

Car voilà que toute une caste... issue des monstres, verrouille désormais chacun de nos instants et ce n’est visiblement qu’un début.

Il y a quelques dizaines d'années, personne n'imaginait en Europe qu'on devrait bientôt affronter la tempête du nouveau siècle. Il va donc falloir nous hisser sur le toit du monde qui est le nôtre et non pas, celui des conspirés maladifs. C’est en somme la réponse qu’avait alors donné le poète Yórgos Séféris en 1963, par son discours de réception du prix Nobel.

Dans notre monde aux dimensions réduites progressivement, tout le monde a besoin de tous les autres. Nous devons regarder de l’homme partout où nous pouvons le trouver. Lorsque sur le chemin de Thèbes Œdipe rencontre le Sphinx, sa réponse à l’énigme fut : Homme. Ce simple mot a détruit le monstre. Nous avons beaucoup de monstres encore à détruire. Pensons à la réponse de l’Œdipe”.

Oui, détruire le monstre.
Sur le toit... du monde. Athènes, décembre 2020

* Photo de couverture: Le peuple rêve de ses étés grecs. En mer Égée, années 2010