Greek Crisis
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Tuesday, 5 January 2021

Time running out
Le temps qui presse



L’année commence à peine déjà et tout laisse à penser qu’elle ne sera pas ratée. Ce n’est pas la première fois et comme toujours... ça dépend pour qui. En pays grec occupé, devant la résistance populaire pour l’instant plutôt passive, les mafieux de bas étage au “gouvernement” ont d’emblée durci les règles du confinement. Entre autres mesures prises, l'élargissement immédiat des horaires du couvre-feu à partir de 21 heures, de même que la fermeture des quelques boutiques autorisées à rouvrir partiellement durant la période de Noël. Visiblement, les marionnettes deviennent nerveuses, elles sont pressées...

Entre grisaille et soleil. Athènes, janvier 2021

La règle mondialiste tant... éprouvée depuis le dernier printemps... pour ne pas dire le dernier des printemps, tourne au chantage. “Restez chez vous, faites-vous vacciner”, de toute manière... nous vous exterminons à petit feu. La presse aux ordres s’amuse même à prédire que “2021 sera l’année de la libération de l’économie”, bien évidemment par le vaccin. Peine perdue.

Dans la foulée des vaccinations, le directeur adjoint du grand hôpital public d’Athènes Thriássio, vacciné parmi les premiers, est désormais soigné et même entubé à l'hôpital Níkaia depuis le Nouvel An. Des sources du ministère de la Santé indiquent “qu’il est traité pour une insuffisance due à une infection des voies respiratoires inférieures et qu'il n'y a pas de corrélation entre la vaccination et son état actuel”. Cependant, son épouse n’est pas du même avis et elle le fait savoir. “Mon mari n'avait ni le COVID-19, ni la grippe, ni aucun germe car tous ces tests ont été pratiqués avant sa vaccination. Une infectiologue nous a dit qu'il est possible qu'il soit le cinquième vacciné en Europe à développer un syndrome de réaction immunitaire aigue, comme effet secondaire du vaccin. Ils ont peur car Pfizer précise via son site Internet que pour définir et même reconnaître un effet secondaire, il doit se produire chez cinq personnes vaccinées au minimum. J'ai très peur qu'ils essaient de cacher que c'est un effet secondaire, parce que c'est bel et bien un effet secondaire du vaccin et rien d’autre”. De même... que la réaction allergique chez un médecin de 32 ans à l'hôpital Attikón après sa vaccination, n'est pas un sujet de préoccupation officielle. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Le peuple alors observe. “Nous sommes des prisonniers... enfermés à domicile. Il fallait y penser. Ces salopards veulent nous exterminer, d’abord à petit feu et sans doute ensuite en accéléré. Dieu sait comment. Déjà, ils n’ont pas à financer notre pauvre gamelle ni les murs de notre prison. C’est le plus grand complot mondial jamais existé. Sauf qu’ils ne pensent pas suffisamment à un paramètre disons bien naturel En d'autres termes, le diagnostic peut en pareils cas, être établi... presque sur des bases cliniques. Dans la vie, à chaque fois qu’il y a action, il y a aussi réaction. Et elle ne tardera pas. Ah... oui. Si parfois vous entendez des bruits de pas, ce ne sont pas des fantômes. De temps à autre je sors de nuit et je marche devant notre immeuble ne pouvant pas aller plus loin pour cause de couvre-feu. Bonne année, ils ne passeront pas”. Voilà pour le constat que fait de notre situation actuelle Lámbros, le voisin dentiste malmené et paupérisé.

Rencontre d’ailleurs faite sous le signe du partage, en cueillant les agrumes du petit jardin de l’immeuble pour se les partager entre locataires, étant donné que les propriétaires nous ont enfin accordé cette petite faveur, depuis déjà... les premières années de la dite “crise”. Ensuite, nous sortons même parfois de chez nous... quel triomphe! En effet, par temps assez clément, aller prendre un café à la main dehors le matin sur les bancs publics est parfois la seule raison apparente qui pousse à s'habiller, ce qui est important. Ce qui compte plus qu'autre chose, tient du rituel dans cette sociabilité retrouvée... en dehors du numérique.

2021, sera l’année de la libération de l’économie. Athènes, janvier 2021

Nous cueillons les agrumes. Athènes, janvier 2021

Prendre un café à la main dehors. Athènes, janvier 2021

Les terrasses des cafés étant intégralement placées en zone interdite, l’Agora des humains encore en société, se recompose alors quand elle peut. Comme durant l'Antiquité, chaque place principale dans les quartiers de l’agglomération d'Athènes demeure toujours ce lieu de rendez-vous des flâneurs, à défaut d’être la grande place du marché et des cafés. Et quant aux rencontres, elles sont obligatoirement fructueuses, entre émetteurs et récepteurs d’idées, ceux-ci sont d'ailleurs interchangeables. Le temps presse alors pour tout le monde.

Eh... les gars. Il y a quelque chose qui cloche dans cette affaire. Ils nous maintiennent en prison avec seulement quelques sorties autorisées et encore, pendant que les décès annoncés par le COVID-19 sont en baisse. Ils tuent les restaurants, les cafés et les boutiques, mais dans les transports en commun les gens sont entassés comme dans une boîte à sardines. De même qu’à bord des avions. Ma nièce, étudiante à l’étranger s’est rendue en Grèce pour passer Noël en famille. Son avion était plein et à l’arrivée, les autorités ont à peine pratiqué deux à trois tests, donc ils s’en fichent. Ces gens visent plutôt autre chose”.

De fil en aiguille, de confinement en couvre-feu, le scepticisme envers la dite “politique sanitaire” comme envers ses “vaccins” se répand rapidement, et il n’y a rien à faire, car en dépit de la propagande du régime, il reste chez les gens encore suffisamment de sens logique, pour ne pas dire Aristotélicien. Après-tout en grec, le sceptique c’est celui qui réfléchit, et penser c’est déjà douter.

Les terrasses des cafés placées en zone interdite. Athènes, janvier 2021

Prendre un café à la main dehors. Athènes, janvier 2021

La Police... omniprésente. Athènes, janvier 2021

Les Athéniens, sous confinement strict et sous le couvre-feu, ont souhaité la bonne année depuis leurs balcons, il y a eu du bruit et quelques feux d’artifice, puis sitôt le silence total. Le matin du premier de l'an et les jours suivants, les habitants bien nombreux étaient naturellement de sortie. Histoire parallèle... quand il s’agit de boire un café à la main dehors sous le soleil, avant l’arrivée de la prochaine pluie. Sauf que la Police omniprésente vient contrôler les... autorisations de sortie, pour de temps à temps chasser... les permissionnaires. “Votre balade en ville c'est pour un certain temps seulement... et non pas pour former des attroupements. Bonne année”.

Sauf qu’au 31 décembre à Mytilène, la capitale de Lesbos, lorsque des citoyens ont fait remarqué aux policiers qui les contrôlaient dans le grand parc près du port qu' à quelques mètres seulement, de nombreux migrants illégaux formaient un attroupement de taille... et que ces gens n’ont pas été contrôlés, les policiers ont très sèchement répondu que “telle est leur mission”, sous-entendu, “nous avons des ordres à ne pas gêner les migrants”.

Les Grecs réalisent alors que la seule politique... réellement existante, comme largement appliquée en la matière, est celle de l’immigrationnisme, et que les marionnettes aux commandes s’y mettent tellement, sans même désormais observer certaines précautions de langage comme il y a encore quelques années. Bien au contraire. Et leurs gestes se suivent et se succèdent. En visite à Lesbos, la marionnette Mitsotákis a obligatoirement visité la nouvelle ville pour colons musulmans imposée par l’Allemagne, la Turquie, Sóros et l’ONU. Celle que la novlangue nomme “un camp pour refugiés”, sous l’encadrement très juteux de la mafia des ONG. Photos et vidéos à l’appui, Mitsotákis... en contrôle continu, a donc rendu sa copie du jour à ses seuls maîtres, les initiés de la pègre des mondialisateurs “d’en haut”.

Quelques feux d’artifice. Athènes, janvier 2021

Mitsotákis... en contrôle continu. Lesbos, 31 décembre 2020

Région frontalière et migrants de passage. Thrace, presse locale, janvier 2021

Et ce n’est pas tout. Avec beaucoup de retard depuis les tentatives massives d’invasion de février et de mars 2020, le gouvernement poursuit la construction d’un mur sur la frontière terrestre avec la Turquie... pendant que cette même frontière n’est plus du tout contrôlée par endroits, et pour cause. En dépit de certaines actions, l’agenda suivie est implacable. Les envahisseurs déferlent chaque jour, les habitants des villages de la région sont terrorisés, tandis que les migrants-colons saccagent et pillent chaque jour davantage, notamment les maisons dont les propitierais sont absents. L’information à ce sujet circule d’ailleurs très mal à travers le pays tétanisé par la propagande du COVID-19 et non pas par sa colonisation imposée conduisant au remplacement voulu de sa population. Heureusement qu’il y a parfois encore la presse locale pour nous éclairer.

La Police préfère visiblement pénétrer dans les églises pour arrêter les religieux et les fidèles, quand les messes deviennent de nouveau illégales, comme ce dimanche 3 janvier à Larissa en Thessalie.De nouveau, c’est-à-dire pour la première fois depuis la période du cruel joug ottoman, il y a tout de même deux siècles. Le christianisme, ici orthodoxe, ailleurs catholique, est ouvertement persécuté par les mondialisateurs issus de la théosophie gnostique “New Age”, au besoin occultistes et lucifériens, ceux-là mêmes qui collaborent ouvertement avec l’ONU et non pas uniquement que par les islamistes, au besoin instrumentalisés.

L’Église officielle grecque, celle des dignitaires, déjà largement... acclimatée aux gnostiques, vient tout juste d’entrer... en Résistance, une première depuis mars dernier et en réalité, depuis plus de vingt ans. Ainsi pour la Théophanie, toujours célébrée en Grèce le 6 janvier comme chez les Catholiques avant Vatican II, et qui est une des douze Grandes Fêtes du calendrier chrétien, la Réunion des évêques vient d’annoncer, que finalement les églises seront ouvertes, en dépit du décret gouvernemental.

Les ecclésiastes ont même saisi à ce propos le Conseil Constitutionnel, encore... une nouveauté. Rappelons que l'Église orthodoxe célèbre de ce fait le baptême du Christ dans le Jourdain ; c’est le pendant orthodoxe de la fête de l'Épiphanie dans l'Église catholique et qu’à cette occasion a lieu la traditionnelle cérémonie de la bénédiction des eaux, en Grèce le plus souvent sur un rivage.

Geste... populaire envers télévision publique ERT. Thessalonique, 31 décembre 2020

La Police contre la révolte des habitants. Asprópyrgos, 31 décembre 2020

Enfants des colonisés... en Métropole. Presse locale de Tríkala, décembre 2020

Eux grecs plutôt troubles. Décidément, notre temporalité devient celle du basculement, tout comme celle de la propagande totalitaire à outrance, dans toute sa mouture du siècle d’après, le nôtre. Adieu temps de jadis, adieu 2020, la nouvelle année sera alors crue et elle sera sans doute cruelle.

Le peuple le sait par pressentiment car il en bave constamment. Déjà ici ou là, il se révolte contre le confinement, comme à Asprópyrgos, aux quartiers Ouest d’Athènes. Dans le même ordre d’idées et qui montent en flèche, les journalistes des chaînes poubelles privées comme publiques, sont le plus souvent très mal accueillis par les Grecs lors des reportages, notamment en Grèce du Nord et à Thessalonique, deuxième ville du pays et capitale de la Macédoine historique.

Temps de jadis. Embarquement pour l'Italie. Port d'Igoumenítsa, années 2000

Temps de jadis. Européistes de France. Referendum du 29 mai 2005

L’année 2020 fut en réalité celle de l’effet catalyseur. Hormis la caste issue du système politique et de son instrument étatique, plus des “grands” médias, qui mènent une guerre d’anéantissement contre le peuple, contre la nation et contre la culture grecque, le reste de la population est désormais divisée en trois catégories. Les presque nantis et Collabos, les Résistants en colère ne sachant pas comment réagir, puis, une certaine masse qui patauge toujours dans la soupe. Au risque de me tromper, je dirais que respectivement, on compte 20% de la population pour les supposés “nantis” et encore profiteurs du système, 40% pour les Résistants potentiels, puis 40% pour la soupe... populaire.

Et à l’occasion, les Résistants s’adressent parfois même publiquement aux Collabos comme aux autres Grecs... issus de la soupe. Au soir du réveillon à Lamía, capitale régionale en Grèce Centrale, un habitant a déplié de son balcon cette banderole au message explicite. “On n’espionne pas et on ne livre pas ses voisins, bonnes fêtes”. Décidément...

On n’espionne pas et on ne livre pas ses voisins. Lamia, presse locale, janvier 2021

Les médias aux ordres quant à eux, font de leur mieux pour que ceux de la soupe... ne rejoignent pas le camp des Résistants. Telle une certaine presse locale en Thessalieet plus spécialement de la ville de Tríkala, faisant l’éloge des enfants issus des notables locaux, surtout quand ces titis... étudient et font carrière en Allemagne... c’est-à-dire, en cette Métropole du dernier Reich européiste.

En ces temps apocalyptiques, et quand les initiés sociopathes se croient doués pour avoir déjà imposé le “New Age” pour les autres, gardant la domination absolue à l’ancienne pour leur seule caste, quoi que l'on dise sur l'évolution de notre système mondial, il est certain que nous n'avons pas franchi le Rubicon... pour nous y asseoir et pêcher. Le temps est désormais celui de l’action et de la réaction.

Dorénavant, il n’y a plus complot, ni même... complotisme. Tout est affiché au grand jour car les monstres élitomorphes ne peuvent plus reculer, surtout après une telle préparation. Tel est également le constant que fait Lupus depuis son blog. “Les contrôles que l’establishment tente de mettre en place ont été planifiés longtemps à l’avance. Le - Grand Reset - et la quatrième révolution industrielle sont en cours de développement depuis au moins 2014, date à laquelle ces termes ont été injectés pour la première fois dans les principaux médias économiques. Les idées de société sans numéraire, d’économie de partage, de surveillance biométrique des masses, de scores de crédit social, etc. font toutes partie du programme mondialiste depuis des décennies. Le coronavirus n’est pour eux qu’une crise utile à exploiter pour justifier les mesures draconiennes qu’ils ont toujours voulues”.

Franchir... le Rubicon. Italie, années 2000

Le plan était tellement prévisible que j’ai même souligné, au début de l’épidémie de coronavirus, que les confinements ne prendraient pas fin même si une vaccination efficace était mise au point, car il suffit de déclarer qu’une... nouvelle mutation du virus résistante aux traitements existants a été trouvée. Ou bien, ils pourraient concevoir un tout nouveau virus et le diffuser dans la population afin de maintenir la machine à réinitialiser en marche”.

Il n’est pas surprenant qu’au moment où la nouvelle a été diffusée que les vaccins Pfizer et Moderna, à peine testés et très suspects, étaient mis à la disposition du public, des rapports ont commencé à faire état de mutations COVID... plus infectieuses - trouvées dans des endroits comme le Royaume-Uni, l’Inde et l’Afrique du Sud. Les histoires de... mutations de COVID montrent que les confinements sont conçus pour durer éternellement. Je ne suis pas sûr que les élites puissent être plus transparentes”.

Affiche New Age de saison. Fondation... culturelle de l'armateur Niárchos. Athènes, décembre 2020

Finie donc la flamme, finie Olympie, finie même une certaine dignité, affichée même publiquement à l’occasion. Pour la première fois depuis la création de l’État grec contemporain, suite à la Révolution nationale et chrétienne de 1821, Sakellaropoúlou, la juge gauchiste et Sorite, cooptée pour accéder à la Présidence de la République par la “gauche” comme par la “droite” et en réalité par les initiés, vient alors de commettre une entorse de taille au protocole en interdisant à la fanfare de l’Armée d’interpréter l'hymne national, supprimé ainsi du cérémonial officiel du jour de l’An.

L’épisode s’est produit devant le parvis de la Cathédrale Orthodoxe d’Athènes, avant la messe officielle du premier de l’An. Ensuite, tout le monde a remarqué que dans la Cathédrale, Sakellaropoúlou n’a jamais fait son signe de croix, comme elle s’est refusée de l’embrasser, contrairement à tous les autres hommes et femmes politiques alors présents. Rappelons que la Grèce n’est pas un État laïque, et qu’au lieu de ridiculiser si ostensiblement le protocole et à travers lui, les fondements culturels de l’État grec, “la petite taille”, comme on l’appelle déjà entre Résistants à travers les réseaux sociaux, aurait pu au moins ne pas s’y rendre, tout simplement. Sauf qu’elle devait visiblement... remettre sa copie du jour à ses maîtres.

Une certaine la dignité de jadis parfois affichée. Grèce, années 1970

Une certaine la dignité de toujours. Gatoúlis de notre immeuble. Athènes, janvier 2021

L’année commence à peine et tout laisse à penser qu’elle ne sera pas... ratée. D’après les projections de la Chambre de Commerce d’Athènes, en moyenne 25% des entreprises actives de l’avant COVID pourront bientôt faire faillite, dont 41% des restaurants et 34% des commerces. Économie sinon... “non essentielle”.

L’année la plus redoutée est alors devant nous, malgré cela et comme de coutume, nous avons dégusté notre Vassilópita à table. C'est l’équivalent de la galette des Rois sauf qu’elle contient une pièce au lieu d’une fève, et qu’elle est découpée au premier jour de janvier en Grèce, celui dédié à Saint Basile. Car dans la tradition grecque il n’y a pas de Père Noël, mais le Saint Basile alors évêque de Césarée.

Pour sauver les pauvres de la famine, dans son combat... pour la redistribution des richesses et contre la famine, il avait inventé une astuce pour distribuer les pièces aux pauvres en les cachant dans une galette, une píta comme on l’appelle en Grèce. Depuis, on partage chaque année notre Vassilópita à minuit ou durant les premiers jours de janvier, une tradition qui remonte donc au Quatrième siècle et à Saint Basile.

Notre Vassilópita. Athènes, janvier 2021

Mimi de Greek Crisis. Athènes, janvier 2021

Et cette année chez nous, l’heureuse gagnante de la pièce c’est alors... Mimi de Greek Crisis et fière de l’être. Pour une fois, Hermès, aussi de Greek Crisis n’a pas eu l’air très jaloux !

Premiers jours de l'année 2021 et déjà, pour ne pas sauver les paupérisés de la famine, comme dans son combat... pour la captation de l’ensemble des richesses, corps et âmes compris, par les mafieux de l’initiation globaliste, la marionnette Mitsotákis vient de remanier son gouvernement dans la journée du 4 janvier. Le non-évènement par excellence, quand le pays alors devient un camp de concentration à ciel ouvert.

Ce n’est pas la première fois et d’ailleurs... “nos” marionnettes deviennent nerveuses car elles sont pressées. Nous aussi.
Hermès de Greek Crisis, n’a pas l’air très jaloux. Athènes, janvier 2021

* Photo de couverture: Notre Vassilópita. Athènes, janvier 2021