Jamais... le dimanche. Les autres jours de la semaine, d’ailleurs non plus. La junte du sadique Mitsotákis qui se prétend sanitaire, montre toutes ses dents. Après avoir dynamité le système de santé, supprimé la médecine de proximité, interdit l’accès aux médicaments et transformé les hôpitaux en mouroirs COVIDiens exclusifs pour les plus vulnérables, voilà que les Grecs se révoltent contre la brutalité policière... en somme contre la Grande Réinitialisation.
Confinement et brutalité policière. Athènes, 7 mars 2021 (presse Internet) |
Sous le mont Olympe, le peuple demeure cantonné dans les limites de chaque commune ; c’est le confinement le plus long, cinq mois sans interruption, comme le plus cruel en Europe. Le régime en dernier recours, dépêche ses policiers prétoriens sur le terrain pour terroriser les Grecs. Il ne reste plus rien d’autre à faire, à part bien entendu piller le pays au profit des pirates mondiaux et de la famille Mitsotakiénne. Athènes mars 2021, la matraque sans masque. Printemps contre le peuple ?
La gouvernance Mitsotakiénne est cette junte mafieuse métastasée, installée par la piraterie historique mondialiste à la suite d’un processus déjà totalitaire, car en réalité initié depuis plusieurs décennies ; COVIDalisme ou pas d’ailleurs. En ce mars 2021, ceux qui ne le voient pas sont alors aveugles, idiots, ou systémiques, ce qui revient finalement au même. Bon... débarras.
Et tous les autres, bien que majoritaires, tous ceux qui sont désormais suffisamment lucides devant l’étendue du crime actuel, restent pourtant divisés et donc neutralisés par les effets de la mécanique sociale dominante. Neutralisés, mais jusqu’à quand ? En attendant, les Grecs souffrent de la dictature nihiliste, leurs droits fondamentaux, dont la libre circulation sont bafoués depuis déjà cinq mois sans interruption, en réalité depuis au moins dix ans.
Au fil des mois, le grand récit de la “pandémie” s’effrite. La difficile maladie certes se propage toujours et encore, s’agissant pratiquement d’autres virus que celui... propulsé à l'avant-scène de l'actualité mondiale, il y a un peu plus d’un an. Des morts il y en a dans les hôpitaux, mais ce n’est pas une hécatombe. La question n’est pas là, en dépit de la propagande ambiante. De toute évidence, la seule vraie question n’a jamais été sanitaire, car elle est politique. Tout comme l’hécatombe sociale.
L’ami et promoteur des oligarques et des pédophiles, serait d’après un certain reportage, à la recherche d’une date pour la tenue des législatives anticipées, Crash Radio, le 8 mars. N’oublions pas que récemment, des proches de Mitsotákis ont fait l’acquisition de la société Singular Logic, s’agissant de la cuisine électorale informatique officielle. Car, le durcissement des mesures du confinement peut visiblement conduire la situation à un point de rupture, surtout que dans ce pays on meurt désormais de faim. Interdire donc l’accès aux plages pour les non-riverains, comme ne plus autoriser les déplacements au-delà des limites de la commune de résidence quand déjà les Grecs ne peuvent pas sortir de leur Région depuis 125 jours consécutifs ; c’est alors la goutte qui fait déborder le vase.
Confinement et brutalité policière. Athènes, 7 mars 2021 (presse Internet) |
D’après le reportage disponible, tout a commencé dimanche après-midi dans le parc du quartier de Néa Smýrni, à Athènes, Crash Radio, Open TV et Internet du 8 mai. Des policiers ont voulu interpeller deux familles dont les membres étaient assis tout simplement sur deux bancs. Les habitants ont sitôt réagi, et sitôt des policiers ont sauvagement tabassé un jeune, en dépit de la désapprobation spontanée des riverains et des passants tout âge confondu. Une trentaine de jeunes comme de moins jeunes, se sont pris aux policiers, lesquels ont demandé des renforts. Visiblement, les ordres arrivés depuis ministère ont été clairs. “Brisons toute résistance du peuple, car il faut le terroriser... maintenant que la propagande perd de son efficacité”, Crash Radio, le 8 mars.
Confinement et brutalité policière. Athènes, 7 mars 2021 (presse Internet) |
Confinement et brutalité policière. Athènes, 7 mars 2021 (presse Internet) |
Cette violence policière alors exercée contre les citoyens... a comme prévu plus que frappé, corps et esprits. Jusqu’à la tombée de la nuit, de nombreux habitants du quartier, jeunes en majorité ont formé un premier cortège. Depuis leurs balcons, d’autres habitants applaudissaient, pendant que les premières grenades lacrymogènes policières étaient déjà lancées contre le peuple. Réunies sur la grand-place de Néa Smýrni, et, sous les slogans de “À bas la Junte de Mitsotákis”, les manifestants en colère ont résisté comme ils ont pu durant une bonne partie de la nuit. Les policiers prétoriens ont même menacé la femme qui a eu le courage de filmer ces séquences. Elle n’a pas cédé. Printemps... de la mort. Car celui seulement de la météo, la saison des fleurs et des animaux commence alors en ce moment. Suite certes... mais alors sans fin. La nuit dernière était longue ; sauf qu’en Grèce, elle l’est déjà depuis bien longtemps. Les Grecs en sont épuisés, la géopolitique ambiante n’est guère rassurante et les initiés s’agitent pour ne rien rater du prochain polar historique. Auront-ils le temps ? La question sera répondue si ce n’est qu’en partie peut-être depuis Moscou.
Grèce 2021. Les pantins de la “gouvernance” du désastre admettent désormais publiquement que 30% du commerce est mort rien qu’en dix mois, de même que plus du 50% de la restauration. De ce point de vue, leur politique a atteint son premier but.
Printemps celui de la météo. Athènes, mars 2021 |
Printemps celui des animaux. Athènes, mars 2021 |
Pays triste aux restaurants défectivement fermés... “Chaque midi un plat plein de Grèce”. Et même en cas de réouverture, qui ira consommer désormais ? Voilà pour la question de cet ordre qui plane aujourd'hui sur le débat bien populaire. Pendant que ceux du pays réel déposent de leurs petits sacs d’aliments devant les immeubles en ville, au profit de leurs compatriotes du même pays mais déjà déréalisé, la propagande officielle, qui pourtant contrôle l’ensemble du paysage audiovisuel autorisé, a désormais du mal à faire passer son message... “deux plus deux égale cinq”. Souvent, lors des directs télévisuels à ciel ouvert, des Grecs interviennent illico près des micros des correspondants qui ne correspondent plus à rien, pour alors crier ce que le peuple ressent.
Petit sac d’aliments devant un immeubles. Athènes, mars 2021 |
Comme l’autre jour... quand la voix off d’un inconnu s'est immiscée dans “la technique de l'information” en plein grand journal télévisée de chaîne poubelle Méga. Car en ce moment, en plus de la mise à mort de la nation grecque, les affaires de pédophilie autour de la bande à Mitsotakis, deviennent ainsi la goutte qui fait déborder le vase. “Mitsotákis, tu te fais enculer”. Verdict... très populaire.
Entre-temps et pour ce qui est de la gestion disons sanitaire de la crise, le Centre Médical Solidaire MKIE, et en réalité l’ensemble du monde médical encore capable à réagir, tire la sonnette d’alarme.
“
- La gestion dangereuse et hasardeuse de la pandémie.
- Un an après le déclenchement de la pandémie, nous sommes au même point et peut-être bien pire qu'au début. Les dirigeants continuent à ne prendre aucune mesure réelle, ils renoncent à leurs responsabilités et ne font que de transférer la responsabilité uniquement aux citoyens, les blâmant même constamment au besoin. Les... mesures gouvernementales sont alors les suivantes.
- 1.L'affaiblissement volontaire et continu du système de soins de santé de proximité, ce qu’a été souligné depuis le début par le MKIE mais aussi, par de nombreux autres acteurs sur le terrain. Pourtant, il faut renforcer cette première prise en charge des patients pour faire face à la maladie dès les premiers symptômes, si possible en restant à domicile, et non pas comme actuellement submerger directement les hôpitaux.
- 2.L'application hasardeuse du confinement ; sans adopter des mesures substantielles pour limiter la propagation de la maladie dans les zones à forte transmission, telles que les lieux de travail et les transports publics aux heures de pointe.
- 3.L'intimidation et l'incrimination constantes des citoyens par les médias, lesquels exercent une pression psychologique et paralysent la société en la rendant vulnérable. Le tout, en masquant les lacunes des mécanismes de l’État face à la maladie.
- 4.La recherche obstinée de la solution au problème dans les seuls vaccins, sans déjà disposer les soins essentiels dans le traitement des malades qui sont abandonnés et ne s’en sortent que grâce à l’effort héroïque du personnel sanitaire, mais qui reste largement impuissant et affaibli dans les hôpitaux car ses moyens sont bien maigres.
- 5.L'augmentation des unités de COVID au détriment des autres maladies, entraînant des résultats tragiques pour les patients atteints d'autres affections graves.
Chaque midi un plat plein de Grèce. Athènes, mars 2021 |
- Post-scriptum: Ces derniers jours, de nombreux patients appellent le MKIE, nous demandant qu’enfin un médecin puisse les examiner. Nous nous conduisons à toute vitesse vers une explosion sanitaire, et qui entraînera une augmentation de la morbidité et de la mortalité dans la population générale. Nous soulignons une fois de plus les énormes responsabilités du gouvernement dans ce qui se passe et nous l’appelons, même maintenant, à assumer ses responsabilités et à faire ce que la réalité tragique exige de lui. Le peuple a fait preuve d'une grande responsabilité et le fera encore davantage, lorsqu'il verra le gouvernement assumer enfin ses propres responsabilités
- Communiqué de presse, Athènes, 6 mars 2021.
Ce même dimanche dans un autre parc. Athènes, mars 2021 |
Sauf qu’en réalité, le gouvernement... assume toute sa politique. “Le monde de folie que veulent nous imposer les apprentis sorciers mondialistes n’a pas fini de nous surprendre, de nous inquiéter et de nécessiter notre ferme résistance. Le coronavirus sert de prétexte à légitimer l’accélération d’un plan qui est conçu jusque dans les moindres détails comme le confirme cyniquement le manifeste du Great Reset signé par Klaus Schwab, dirigeant du Forum économique mondial”.
“Le monde post-COVID a des allures de film de science-fiction. Un monde de plus en plus totalitaire dans lequel le numérique et en conséquence le robot, prennent de plus en plus d’importance en même temps que la société se déshumanise”. C’est en cours...
Ce même dimanche dans un autre parc que celui de Néa Smýrni, j’ai rencontré un jeune médecin, voisin de quartier qui travaille à l’hôpital. Il m’a dit pratiquement la même chose que le communiqué du MKIE a exprimé par écrit.
“Voilà le... beau spectacle ; tout ce monde s’entasse désormais dans les parcs. Ces mesures n’ont rien de sanitaire. C’est ni plus ni moins que l’affaire montée de toute pièce... par le gouvernement d’une junte. La médecine de proximité est court-circuitée, nous n’avons pas vraiment accès aux médicaments. Soigner, voire sauver nos malades nous est interdit. Je travaille... jour et nuit pour 1.000 euros par mois de salaire net. C’est la première fois que je vois une telle situation en tant que médecin. Saboter à tel point les médicaments au profit d’un vaccin... plutôt incertain pour le dire gentiment. Car, lorsque les gens arrivent à l’hôpital... c’est trop tard pour les plus âgés ; déjà que 80% de notre activité normale, hors COVID est arrêtée. Ni chirurgie, ni thérapie, ni soins... et les gens en meurent autant, sinon davantage. Un vrai crime à l’échelle du pays”.
Abris... pour chats. Athènes, mars 2021 |
Sauvons les espaces NATURA 2000. Athènes, mars 2021 |
Nous avons même fait un bout de chemin ensemble. La Police n’a pas osé gêner les occupants de la place, dans notre quartier en tout cas et pour l’instant.
Printemps donc calendaire. Sur notre chemin, nous avons vu tant de chats devant... leurs abris de fortune. Ils ont l’air chanceux, comme nous avons observé et même commenté un slogan appelant à lutter pour sauver les espaces NATURA 2000 en cette Grèce dénaturée. En ce moment, ils sont tous menacés et même largement défigurés par les éoliennes allemandes que les promoteurs grecs et la mafia des politiciens installent un peu partout sous prétexte de transition... écologique. Silence, on liquide ; Solve et Coagula des initiés. Accessoirement, Kikílias l’impotent ministre de la Santé est un protégé de la... Grande loge de Grèce. La confrérie des crétins sous Mitsotákis et derrière Schwab. Ils nous espionnent certes, mais nous les observons aussi de notre côté.
En attendant le prochain déferlement de l’histoire, des heurts se sont poursuivis durant toute la nuit du dimanche à lundi dans le quartier de Néa Smýrni. Le microcosme politique se dit alors secoué, mais pour nous, ce sont surtout nos enfants qui ont encore pleuré devant la violence policière. Mitsotákis est un salopard mais il n’est pas le seul dans cette bande de chiens. Il représente la caste des assassins historiques de la Grèce depuis l’exécution très initiatrice de notre seul vrai Gouverneur Ioánnis Kapodístrias, en octobre 1831. Nous reviendrons d’ailleurs bientôt sur cet événement, dans une prochaine publication.
Des heurts se sont poursuivis durant toute la nuit. Athènes, 7 mars 2021 (presse Internet) |
Les enfants ont pleuré. Athènes, 7 mars 2021 (presse Internet) |
L’ébullition, nous y sommes. Déjà ce que “l’État... État-major”, d’après l’expression consacrée du mafieux Mitsotákis, a plus que démontré quelles sont ses vraies priorités. Par exemple en Thessalie, quand plusieurs centaines de familles... hélas natives du pays, ne peuvent plus habiter leurs maisons, suite aux dégâts causés par les secousses sismiques de cette semaine. L’État est incapable d’octroyer l’aide nécessaire à la hauteur des événements, afin de loger ces compatriotes de manière provisoire mais alors digne.
Ce qui finalement a provoqué la colère du célèbre sismologue en Grèce, Ákis Tseléndis. “Nous bâtissons bien de bourgades complètes pour les migrants, illégaux comme légaux ; je voudrais voir tous ces humanitaires faire preuve de la même sensibilité envers les Grecs désormais sans-abri. Je m’arrête là, car ma spécialisation c’est la sismologie”. Détail de l’histoire, Tseléndis est issu de la Nouvelle démocratie de Mitsotákis, il était même son candidat aux élections européistes de 2019.
Liquidation à tout crin, plus la sismicité. L’histoire est en gestation et pas que sous l’Olympe. Le mélange est potentiellement explosif. La révolte qui couve en Grèce peut toutefois se mêler aux gesticulations récentes de la Sórosphère anarchisante, relatives au sort du détenu Koufodínas, en grève de la faim depuis déjà quelque temps. Il est le héros... des hérauts du chaos, comme de la manipulation en cours. Solve et Coagula des initiés.
Rappelons que Koufodínas est l'assassin principal de l’organisation dite du “17 Novembre”, un groupuscule instrumentalisé en cours de route, ou sinon directement produit par les services secrets grecs comme ceux d'autres pays, dont ceux d’abord du para-État grec, très profond. Car ses assassinats avaient en somme d'autres buts que ceux annoncés pour amuser la galerie des idiots utiles, quand par exemple leurs victimes ont été certains policiers de haut rang ayant servi les Colonels mais qui en savaient bien trop de choses sur la “transition” entre la dictature et la “démocratie”. Aucune enquête n'a été menée sinon, pour établir les faits du financement du groupuscule du 17N, et encore moins, sur les liens de l’organisation terroriste avec certains partis ou même familles politiques. Il n’y a que les exécutants qui sont en prison, et encore.
Pays où l’on interdit désormais même l’accès aux plages. En Attique, mars 2021 (presse Internet) |
Pays grec où l’on interdit désormais même l’accès aux plages, c’est déjà vu. On tire alors sur les pianistes... comme sur les lampistes. Les initiés s’agitent, le remplacement de Mitsotákis semble déjà programmé, la “relève” du système sera sans doute revue sous le lustre du patriotisme.
L’histoire en gestation, les temps sont bien malins pour qui veut bien le comprendre. Le gouvernement sous ordre de Mitsotákis n’accorde plus de protection policière à certains journalistes connus ; connus surtout pour leur opposition contre le clan Mitsotakis. Tel Yórgos Trángas, lequel vient de lancer un mouvement politique, non sans rapport avec les Grecs de la Diaspora, car pour la première fois, ces compatriotes des antipodes prendrons alors part au vote lors des prochaines législatives. Et ceux du bocal s’agitent...
Trángas le sait. Sauf qu’il ne m’a pas du tout convaincu. Mon intuition, ainsi que l’observation de certains faits et gestes, me font dire que Trángas et son mouvement ne seraient pas sans lien avec les services secrets et en tout cas bien profonds, à Athènes et pas seulement à Athènes.
Jamais le dimanche donc... et pourtant. La junte qui se prétend sanitaire, montre alors toutes ses dents, autant que les différents clans parmi les initiés.
Mars... attaque et c’est alors la matraque sans masque. Printemps des peuples? Chez-nous, nous restons unis... et solidaires, tels Hermès et Mimi de Greek Crisis. Il va falloir tenir et surtout agir.
Unis... et solidaires, Hermès et Mimi de Greek Crisis. Athènes, mars 2021 |
* Photo de couverture: Confinement et brutalité policière. Athènes, 7 mars 2021 (presse Internet)